Candidatures aux fonctions Académiques.

Sire duc, je vous remercie de votre offre, mais je la devance: c'est dit, je souhaite faire parti de l'institut politique comme copiste.

(petit bug, ayant frappé tous les forumes visiblement, je réaffiche)

Citation :

Aux membres de l’Académie Royale, Institut des Belles-Lettre,


Suite à la mise à candidature du poste de copiste de la ville de Dax, moi, Namaycush, Gascon dans l’âme, Dacquois de cœur et de corps, n’ais pu résister à la tentation de devenir la plume dorée chargée du rayonnement de Dax au-travers des duchés et comtés formant les royaumes.

Plutôt que de narrer mon parcours et mes différentes expériences, oserais-je préciser que mon style pour le moins fleuri, ma verve pour le moins fougueuse, mon impressionnant sens du détail, m’ont donné goût aux joutes oratoires qui ont affûté mon esprit à la réthorique, qui risque fort de vous surprendre ?
Sans hésitation, je me le permets !

Dans l’espoir d’avoir répondu à vos attentes quant à mes motivations et à mon amour pour mon pays par ces quelques lignes, je vous prie de recevoir, Chers Membres de l’Académie Royale, mes salutations les plus ensoleillées du Sud-Ouest.

Ainsi fait à Dax, le dix-huitième jour de septembre de l’an de grâce 1456, par la volonté de son Bourgmestre.

Lys de Landivy a écrit :

Citation :

Messire,

Vostre demande est bien parvenue à l'Académie.
Il fait toujours plaisir de recevoir des messages aussi enthousiastes.
Je vous demanderais de nous préciser dans quel Institut vous voudriez oeuvrer. L'Académie comprend divers Instituts. Ceux-ci sont:
Linguistique
Histoire de France
Sciences
Belles Lettres
Lexicographie
Politique.

Pour vous aider dans vostre choix, je vous ouvre les portes des différents instituts.
Soyez assurer que pour ma part, vous seriez le bienvenu au sein de l'Institut de Linguistique.

Cordialement,
Lys de Landivy
Académicien Royal, Institut de Linguistique.

Après avoir mûrement réfléchi et ayant eu un entretien avec son bourgmestre et son duc, il décide qu'il serait plus utile en politique....

Et bien je choisis la branche politique, si vous m'acceptez bien sûr...

J'irai seule, Bacchus.

Damoiselle ...!

Trop tard, elle était déjà partie. Le cocher la regarda s'enfoncer dans l'ombre du portique, malheureux comme les pierres.
La route avait été longue, depuis Vienne. Et de tout le trajet, la fillette n'avait dit mot, ou seulement pour remercier d'une attention, d'une gentillesse. Elle était comme enfermée en elle-même, et Bacchus aurait donné cher pour connaître les pensées qui s'agitaient sous le haut front bombé, prêtant aux yeux azur un regard d'adulte bien avant l'âge.

La salle des pas perdus ne porta jamais si bien son nom que ce jour-là. Anne y entra, un pas, un deuxième, un troisième, plus lent. Elle s'arrêta, fixa le sol à une toise devant elle, et fit demi-tour. Attirée par la porte comme le papillon par la lampe, elle s'avança vers la lumière extérieure, un bras tendu devant elle.

Une Culan faiblirait à la première difficulté ?

La phrase avait été prononcée, en d'autres circonstances, par la vicomtesse Marie-Alice. Mais ce jour-là, elle avait eu des accents bien plus doux que le ton cinglant sur lequel la fillette l'entendit dans sa tête.
Elle tourna le dos à la lumière.
Un nouveau pas, un autre, un autre encore. Sous le ruban qui nouait le bonnet, la gorge déglutissait spasmodiquement. Le regard bleu, qui jusque là était resté fixe, sans vie, s'anima d'une volonté puisée dans l'orgueil, s'enhardit jusqu'à errer par toute la vaste salle.
Quelqu'un viendrait bien à sa rencontre, il suffisait d'attendre, et de ne pas penser.

Une dame blonde passa devant Anne. La fillette la suivit des yeux, pleine d'espoir, mais elle poursuivit son chemin. Non ! Elle revenait sur ses pas, tout doucement, hésitante.

Bonjour demoiselle.
Je suis Lysesl Monty de Landivy mais on m'appelle surtout Lys. Je suis Académicien Royal icelyeu.
Vous désirez voir quelqu'un en particulier ?

Anne se sentit rougir, mais leva hardiment les yeux vers la dame, et fit la révérence.

Bonjour, Excellence. Je suis Anne de Culan.

Elle prit une grande inspiration, et poursuivit, s'efforçant de maîtriser les battements désordonnés de son coeur.

On m'a dit que l'Académie recherchait des copistes. Je suis jeune, mais je veux servir. Mon père ...

Sa voix se brisa. Elle reprit sa respiration, et répéta :

Je veux servir. A qui dois-je m'adresser, Dame, s'il-vous-plaît ?

A mesure que parlait l'académicienne, Anne relevait la tête, et reprenait quelque assurance. On ne lui faisait pas grief de son jeune âge, et cela ne laissait point de l'étonner.

L'Académie cherche effectivement des copistes et ce, pour tous les instituts.
Vous avez un intérest particulier ?

Oui, Dame. J'aime les sciences, l'histoire, et par-dessus tout les histoires et la poésie.

Elle prit avidement le trousseau de clefs qu'on lui tendait, rougit en prenant conscience que son geste trop rapide trahissait son soulagement, et sourit timidement à Dame Lysesl.

Vous aimez la politique, demoiselle ?

Je ne sais, Dame. Si par politique vous entendez le service de la Cité, alors oui, cela m'attire. Ma famille a donné au Royaume, en divers duchés, nombre de Conseillers ou de Maires. Mais je crois avoir encore trop à apprendre en ce domaine pour être de quelque utilité.

Elle s'excusa auprès de l'académicienne, dont elle admirait l'habit, et, comme on l'y avait engagée, se promena une partie de la journée dans les divers instituts. Elle évita cependant soigneusement l'institut de politique. Plus tard, peut-être, quand elle serait plus familiarisée avec les lieux et leurs fantômes. Pour l'instant, Anne avait bien de la peine à retenir ses larmes en passant devant certaines portes, le moment n'était pas encore venu de les pousser.
Au terme de sa découverte, elle redescendit dans la salle des pas perdus, et fit mander Dame Lysesl. Sa décision était prise : ce seraient les Belles Lettres, bien que l'Institut lui eût paru quelque peu à l'abandon depuis la mort de la dernière Académicienne en chaire.

Anne n'attendit guère. Dame Lysesl reparut si vite que la gamine n'eut pas le temps de s'attarder aux sombres pensées qui menaçaient de l'assaillir. Même debout, elle devait lever la tête pour regarder son interlocutrice, qui avait pris place sur une chaise. Les longs cils soyeux battaient pour masquer l'appréhension qui la reprenait.

J'espère que vous ne vous estes pas trop égarée dans les couloirs de l'Académie. Ça peut sembler très grand parfois.

Vous avez fait un choix, demoiselle Anne ?

La fillette hocha gravement la tête.

Oui, Dame Lysesl. Ce que l'on faisait à l'Institut des Belles-Lettres me plaît, et je crois que c'est le type de travail dans lequel je pourrai m'investir. J'y ai remarqué nombre d'ouvrages en attente. Si vous m'acceptez, c'est par ceux-là que je commencerai.

Linoa se rendit aux portes des académies royales, espérant être utile quelque part avec son déménagement prochain et comme de par hasard, des demandes étaient faites ici et pour des greffiers royaux, elle allait bien trouver quelque chose à faire tout de même! Enfin si elle le pourrait.

Bonjour à tous, je ne sais trop où me présenter donc je viens à vous. J'ai entendu dire que vous recherchiez des copistes, il semblerait que je sois motivée pour ceci!
Si bien sur je puis le faire. Elle marqua une courte pause, elle avait oublié quelque chose d'important, ah oui se présenter!

Veuillez m'excusez, l'exitation me fait oublier certaines choses, je suis Linoa, sergent chef et habitante de Polignac, future habitante de Montbrison, deux villages en Bourbonnais Auvergne.
En vu de ce prochain déménagement, je cherche de quoi servir le royaume de France et ceci me plairait grandement!
Elle sourit en espérant qu'elle puisse, ses visites hebdomadaires chez les nonnes, amputait ces fonctions qu'elle voudrait exercer pour la plupart du temps.
Si vous avez besoin de renseignements sur ma personne, je suis à votre disposition avec plaisir.

[HRP/Mon pseudo IG est linoa2901]

L'actuel Duc de Bourgogne pénétra en l'académie. Il se présenta aux personnes chargés d'accueillir les arrivants, des réceptionnistes?

-Bonjour, je serais possiblement intéressé à m'investir dans le domaine historique de l'académie. Mais avant toute chose, je voulais savoir si cette section sert à relater les événements risquant de passer à l'histoire se produisant présentement, ou si elle se concentre sur les origines de la France pré-RR, ayant mené notre société à son point culminant aujourd'hui.

Moorcock de Pissedru avait recemment entendu parlé de l'Académie par son ami Chevalier Dide à Baiona recemment nommé...
Il avait un intérêt, certains même lui attribuaient quelques talents, pour les histoires, les contes, la poésie...et il se demandait si le poste de Copiste Académique dans le domaine des belles lettres ne lui sieyerait pas...En attendant mieux !
Il poussa donc les grandes portes de l'Académie et fut impressionné par la magnifiscence des lieux.
Il attendit qu'on vienne l'accueillr en observant les fresques murales du plus bel effet.

Après une bonne visite des lieux elle fut plus attirée par une institution mais se demanda comment elle pourrait y travailler et y aider.
Elle revint vers la dame Lys et lui sourit, rebonjour ma dame, j'ai trouvé une institutions qui me plairait bien qui serait celle de la linguistique, seulement je me demande comment et avec quoi vous faites les recherches, vous avez des références particulières?

Moorcock vit arriver une dame qui semblait être de haut rang au sein de l'Académie Royale...
Comme elle l'interrogeait sur le but de sa visite, il s'inclina et prit la parole :

Dona, j'ai ouie par un ami bayonnais, Messire Chevalier Dide, que vous cherchiez des copistes académiques...Cela m'attire...Neanmoins je connais peu la fonction. Ce que je sais, c'est que se sont les Belles Lettres qui seraient plutôt mon secteur d'activité...J'ai quelques talents litteraires...On dit même de moi que je suis le meilleur conteur du Royaume !

Le Duc regarda la dame, un peu gêné de son empressement.

-Oh, je suis Vaxilart de la Mirandole, Duc de Bourgogne et Baron d'Auxonne. Ravis de vous rencontrer!

Dide avait reçu du brave garde un missive de Donà Lys, l'informant de la visite d'un postulant pour l'institut d'histoire. Il alla donc à sa rencontre.

Bien le bonsoir votre Grace, vous avez devant vous l'actuel Académicien royal responsable de l'institut d'histoire .

j'ai bien reçu de Donà Lys, vos questions sur l'institut.

Bien l'institut d'histoire relate les événements qui se son passés
dans le Royaume en nostre temps, donc le conflit de la Bretagne contre le Domaine Royal et le conflit d'Anjou et de Poitou ...

Si vous avez des questions, des remarques ou autre, je reste à votre disposition ...