Candidatures aux fonctions Académiques.

Landdel s'était mis en route une fois la lettre reçue, avait voyagé quelques jours et était enfin arriver à destination. Il descendit de son cheval et s'avança dans le bâtiment, il resta debout et attendit que quelqu'un vienne à sa rencontre.

[Bureau de l'Académicienne en chaire de Lexicographie]

Citation :: A Eoghan de Dénéré-Dongenan,

Salutations ;

Votre missive m'est parvenue récemment, et je l'ai lue avec grand plaisir. Il est bien rare que la soif d'apprendre et de produire ses propres ouvrages se révèle à votre âge, et c'est sans doute ce qui rend votre candidature exceptionnelle.

Ainsi, votre jeune âge, pour reprendre vos mots, ne me semble pas être une barrière à ce que vous exerciez au sein de l'Institut de Lexicographie, non plus que votre manque de connaissances : nous sommes tous confrontés à la nouveauté et aux découvertes que provoquent nos recherches.

Si donc vous le souhaitez, je serai ravie de vous recevoir dans les locaux de l'Académie. Cela vous permettrait de vous familiariser avec le scriptorium de l'Institut, de découvrir les ouvrages qui ont déjà été finalisés et, en somme, de confirmer votre volonté d'intégrer l'Académie.

En attendant de vos nouvelles, je vous salue respectueusement.

Sindanarie Carsenac
Académicienne en chaire de l'Institut de Lexicographie

Petit échange de missives, réponse plutôt favorable, le jeune garçon n'hésita pas à prendre monture accompagné d'un garde du domaine de son père pour venir en le Palais des Académies.
Garde laissé en la compagnie des équidés, mal aux fesses en prime car le jeune garçon ne savait encore pas bien monté, voilà le ptiot Dénéré-Dongenan se présenter en la Salle des pas perdus, comme l'un des employés lui avait signalé.

Ne sachant quoi faire, Eoghan encore haut comme trois pommes ou presque, s'avança discrètement ici, attendant de trouver la personne adéquat, dont il n'avait aucune idée du visage qu'elle pouvait avoir.

S'attendant à voir arriver le jeune damoiseau avec lequel elle avait eu un bref échange épistolaire, l'Académicienne avait littéralement hanté la Salle des Pas Perdus, tantôt lisant un manuscrit, tantôt faisant les cent pas, l'esprit absent, tantôt observant les personnes qui se croisaient. Son attention fut finalement attirée par un jeune garçon qui s'avançait dans la salle, apparemment quelque peu perdu.

Roulant le morceau de parchemin qu'elle parcourait distraitement jusqu'alors, la jeune femme s'arracha au mur contre lequel elle était adossée et s'avança vers l'enfant. Sans doute était-ce avec lui qu'elle avait brièvement correspondu, les enfants étant particulièrement peu nombreux en l'Académie...

Un sourire aux lèvres, cherchant du regard les yeux du garçon, elle lui dit :

Le bonjour, jeune homme. Je suis Sindanarie Carsenac, est-ce avec vous que j'ai eu l'occasion de correspondre récemment ?

Le bonjour, jeune homme. Je suis Sindanarie Carsenac, est-ce avec vous que j'ai eu l'occasion de correspondre récemment ?

Le regard du jeune garçon de onze printemps se posa sur une jeune femme qu'il n'avait pas aperçu, ne regardant pas dans la bonne direction. Menton levé, regard fier et qui montre qu'il n'est d'aucune manière intimider, bien que cela soit totalement faux, le jeunot Dénéré-Dongenan s'approche un peu plus de la dame.

B'jour m'dame, et oui il n'écrit pas comme il parle, mais ça il n'y pouvait rien Eoghan au restant de l'accent breton, enchanté de faire vot' connaissance ! Oui j'crois que c'est moi, j'suis Eoghan de Dénéré-Dongenan.

Vous m'avez invité à l'Académie suite à notre échange épistolaire.

Tout stressé qu'il est, le jeune héritier de Vannes, les mains dans le dos, tante de garder un peu de contenance devant la belle jeune femme, car tout innocent qu'il soit, plus il vieillit, plus il commence à s'intéresser aux filles.
Et là il fallait le signaler, aux yeux de jeunot, elle était sacrément jolie comme fille.

L'accent breton fut une véritable surprise. Un reste seulement, peut-être, mais quel reste ! depuis quand n'avait-elle pas entendu pareille élocution ? C'était difficile à dire et, après tout, peut-être gardait-elle des traces de l'accent du Limousin ou, souvenir bien plus ancien, souvenir d'enfance presque, de l'accent du Berry... Bref, qu'importaient ces histoires d'accents et d'origines, la Bretagne resterait du passé pour elle. Ecoutant le jeune garçon parler, elle se demanda -réprimant bien vite cette pensée, d'ailleurs - si elle avait plus ou moins du double de son âge. Sans doute un peu plus... Il avait l'air tellement jeune, celui qui se présentait sous le nom d'Eoghan de Dénéré-Dongenan...

En tout cas, il n'y avait plus de doute quant à la personne... L'Académicienne reprit donc :

Enchantée également de vous rencontrer. Je vous ai invité ici, en effet, pour que vous puissiez jeter par vous-même un oeil sur les ouvrages produits par les différents Instituts. D'ailleurs, à ce sujet...

Un grommellement agacé s'étouffa dans la gorge de la jeune femme. Evidemment, quand elle voulait dégager de sa ceinture les clés donnant accès aux différents Instituts, il fallait qu'elle s'empêtre dans ses affaires... Entre le lacet de cuir qui retenait les clefs à sa ceinture (et qui, manifestement, voulait aussi retenir ses doigts) et un pli de la longue robe noire qui gênait l'emprisonnée, tout sembla se conjuguer pendant deux brèves secondes pour faire enrager Sindanarie. Quand les objets cédèrent finalement, elle put enfin tendre un petit trousseau de clefs à son jeune visiteur en reprenant :

Au sujet donc de votre visite... Vous avez ici toutes les clefs des parties de l'Académie accessibles aux copistes. Vous pourrez ensuite me faire part de votre choix de rejoindre ou non l'Institut de Lexicographie, ou un autre Institut, selon ce que vous découvrirez.

Enchantée également de vous rencontrer. Je vous ai invité ici, en effet, pour que vous puissiez jeter par vous-même un oeil sur les ouvrages produits par les différents Instituts. D'ailleurs, à ce sujet...

C'est à ce moment-là qu'une scène très amusante se produisit, et qu'Eoghan observa avec attention tout en se retenant de rire. À croire que les effets de la belle Dame semblaient vivants, et faisaient tout pour lui mener la vie dure. Ou alors qu'elle était juste d'une nature maladroite.

Au sujet donc de votre visite... Vous avez ici toutes les clefs des parties de l'Académie accessibles aux copistes. Vous pourrez ensuite me faire part de votre choix de rejoindre ou non l'Institut de Lexicographie, ou un autre Institut, selon ce que vous découvrirez.

Sans un mot supplémentaire, la jeune Dénéré-Dongenan s'inclina tout en prenant les clés, et partit en vadrouille dans le Palais des Académies.

[...]

Plusieurs heures après avoir vadrouillé, écouté, lut, cherché, bref, s'être intéressé à tout ou presque, il revint en la Salle des pas perdus, et y trouva l'Académicienne Royale en chaire de Lexicographie.

En fait... Je suis sûr que je veux... travailler dans votre Institut ! Enfin, même si j'ai bien saisi en quoi consister votre travail par rapport aux personnalités, j'aurai aimé que vous me l'expliquiez mieux par rapport aux lieux. Mais dans tous les cas, c'est ici avec vous que je veux apprendre !

Tout sourire, Eoghan, motivé et enthousiaste.

De son côté Jane de Bohem tentait d'identifier son invité dans ce grand chassé-croisé
Quelquefois l'attente est la meilleure stratégie, lorsqu'il ne resta plus qu'un homme seul elle s'en approcha

Bonjour Messire Landdel. Comment va l’Alençon ? voici une éternité que je n’y ai mis les pieds après un temps fou passé à terroriser les paroissiens de Mortagne

Oh pardon ! je me présente, Jane de Bohem et si nous allions parler de votre projet au calme, dans le bureau de l’Institut des sciences ?

Landdel d'Artelois, enchanté.
En Alençon c'est très, trop calme à mon gout.
Je vous suit.

Laissant le jeune Eoghan s'informer en toute liberté dans l'Académie, Sindanarie était repartie vaquer à ses diverses occupations. Tel était l'avantage de connaître l'Académie dans son ensemble : l'évaluation du temps de visite était presque possible... Mais presque seulement, et c'est avec une bonne marge que l'Académicienne retourna dans la Salle des Pas Perdus. Bien lui en prit, car bientôt le jeune garçon revenait et lui apprenait, un large sourire aux lèvres, que sa décision restait inchangée.

Son enthousiasme était si communicatif qu'un franc sourire se peignit sur le visage de la jeune femme, et elle lui répondit :

Eh bien, ce sera une joie que de vous voir à l'oeuvre ! Pour ce qui est du travail sur les lieux, il n'est pas encore entamé, mais il s'agit de dresser l'historique et de retracer l'évolution des différents lieux marquants de notre Royaume... Et d'ailleurs, si un jour nous parvenons à un dictionnaire quasi exhaustif des places françaises remarquables. Cela répond-il à votre question ?

Persevael arriva en l'enceinte du palais des Académies Royales de France. Après sa chère mère, Arielle de Gilraen, et son frère Laurens, voilà qu'il décidait de se présenter en ces lieux pour pouvoir, lui aussi, tenter d'approfondir son savoir et d'aider du mieux qu'il puisse l'Académie Royale. Mais avant cela, il fallait encore être accepté au sein de ces lieux. Il arriva donc en cette si belle bâtisse lettre en main.

Citation :: A l'attention de la Grande Académicienne et des académiciens,

Salutations !

Par la présente lettre, je souhaite me porter candidat à l'Institut Royal de Linguistique pour approfondir mon érudition en la langue françoyse et pour apporter ma contribution en tant que serviteur de ce si beau langage qu'est le nostre.

En premier lieu, il est bon de savoir que je me nomme Persevael Louis de Gilraen. Je suis le fils du Comte de Nijmegen, Jeanjacob de Gilraen et de la Comtesse Arielle de Gilraen de Dénéré. Je vis désormais en Flandres et suit Porte-Parole du parlement de cette province. Ajoutons à cela que je suis aussi Ecuyer Royal et que je pratique la chasse de temps en temps comme loisir.

En l'attente de vostre réponse, je vous prie de recevoir mes salutations les plus humbles.

Persevael Louis de Gilraen

Elle avait peine à le croire... On était venu la prévenir qu'un jeune homme s'était présenté à la salle des pas perdu, demandant admission à l'Académie et intéressé par l'institut de Linguistique.

Elle se dirigea prestement vers le portique accueillir personnellement ce candidat.

Bonjour messire. Je suis Lys Monty de Saint-Pierre, Académicienne Royale responsable de l'institut de Linguistique.
On me dit que vous seriez intéressé par l'Académie et par cet institut.
Je ne vous cacherai pas que l'institut de Linguistique est en recherche de candidats et que, suite à un manque cruel de copiste, il ne manque pas d'ouvrage. Mais j'aimerais savoir quelles sont vos motivations à joindre l'Académie, et l'institut de Linguistique ?

Persevael vit arriver une femme des plus élégante, sûrement quelqu'un de grande importance. Décidément, Mère ne recrutait pas n'importe qui à ces postes d'Académiciens. Il fut amusé de voir que le regard de la Dame qui avait l'air rempli d'espoir.

Et bien, enchanté Dame. Tout d'abord, je souhaite rejoindre l'Académie en institut linguistique car le françoys qu'est le nostre m'intéresse particulièrement et j'aimerais l'approfondir un maximum. Aussi je souhaite vous aider dans les travaux dont ma mère m'a parlé, comme celui du dictionnaire d'ancien françoys.

Elle croyait rêver... Enfin un candidat sérieux !
Sa mère ? Elle regarda la signature au bas de la lettre qu'on lui avait remise.

Dame Arielle serait votre mère ? Mais c'est merveilleux ! Je suis ravie que son fils s'intéresse à l'institut qu'elle a fondé.

Je vous invite à venir visiter les locaux des divers comités de l'institut, et vous pourrez également consulter nos principaux dictionnaires.

Elle lui tendit un trousseau de clés.
Soyez le bienvenu, messire Persevael Louis de Gilraen !

Persevael sourit à la Dame en recevant le trousseau et ne put s'empêcher de cacher sa joie,

Ma Dame, je vous remercie de me donner aujourd'hui la possibilité de vous aider pour continuer le travail entamé. Et oui, je suis bien le fils d'Arielle de Dénéré et lorsqu'elle m'a parlé de cet institut linguistique, j'ai accepté pour plusieurs raisons ; celles que je vous ai citées et aussi le fait que ce soit elle qui ai créé cet institut et que cela lui faisait plaisir que je le rejoigne.

En tout cas, je me réjouis de nostre collaboration.

Copiste de Politique Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 09/01/2010

L’hiver se faisait rude, et cela faisait un temps que la jeune mère cherchait à atteindre l’Académie. C’est sur le retour de son allégeance des terres de Navarre, qu’elle fit halte à cette noble institution. Le même jour, son jeune Porte Parole, Persevael Louis, lui avait donné nouvelles. Hasard sans doute, ce dernier venait d’être accepté comme copiste à cette même Académie. Un léger sourit en coin, la chevelure délicatement tressée sur son front et son mari l’attendant dans la calèche, la comtesse entra la lettre de candidature en main.

Citation :: Fait le 9 décembre 1458,

A l’attention de l’Académie Royale et de ses académiciens,

Nous, Piscalie Breydel, Comtesse de Sint Winocq Bergen, Dame de Temse et Cazaux, présentons candidature.

Actuellement, Présidente du Parlement Flamand, Ambassadrice flamande en Artois et Vice Chancelière de notre Comté natal, les Flandres, nous attestons un profond désir pour les affaires politiques. Monsieur notre Mari, étant chef de fil d’un parti politique depuis un temps, nous arborons ensemble régulièrement des discussions politiques.

Nous sommes, en plus d’être dévoué à notre tendre Comté, attaché au savoir, plus singulièrement au savoir de l’homme. La pensée de l’homme étant un vaste chantier politique que nous affectionnons particulièrement. Etudier les possibilités politiques, les enjeux, possibilités ainsi que les rapports de pouvoirs mis en place s’avèrent, pour nous, un terrain important auquel tout un sachant devrait faire attention. Notre vie reste éminemment politique et c’est pour cela, que nous nous intéressons particulièrement à l’institut politique de votre Académie.

Recevez, chers académiciens, nos salutations les plus distinguées,

Piscalie Breydel
Comtesse de Sint WinocqBergen.

[Désolé j'avais pas vu la réponse, d'où mon retard dans la réponse à mon tour]

Eh bien, ce sera une joie que de vous voir à l'oeuvre ! Pour ce qui est du travail sur les lieux, il n'est pas encore entamé, mais il s'agit de dresser l'historique et de retracer l'évolution des différents lieux marquants de notre Royaume... Et d'ailleurs, si un jour nous parvenons à un dictionnaire quasi exhaustif des places françaises remarquables. Cela répond-il à votre question ?

Oui tout à fait ! Et bien, cela va se révéler être aussi passionnant que je m'y attendais.

Inclinaison du buste et de la tête.

Je vous remercie de votre confiance. Je me dois de repartir loin de Paris pour quelques jours, mais je reviendrai le plus vite possible pour commencer quelque projet que ce soit que vous voudriez bien me confier.

Eoghan s'inclina une nouvelle fois, salutation et bienséance de mise, et tout heureux, reparti en sachant que la prochaine fois qu'il reviendrait, ce serait en tant que copiste.

Par égards envers Yodea, Arielle avait attendu qu'il accueille lui-même Piscalie Breydel à l'Académie. Toutefois, voyant que celui-ci avait dû s'absenter et que, partant, la réponse se faisait attendre, elle fit porter la missive suivante à la dame.

Citation :: Votre Grandeur,

c'est avec grand plaisir que l'Académie royale a reçu votre candidature au poste de copiste à l'Institut de Politique. Nous sommes désolés de vous offrir si tardivement une réponse. Messire Yodea, l'Académicien en chaire de cet institut, a dû s'absenter; il n'a donc pas encore pu vous accueillir convenablement.

En attendant son retour, je vous invite à visiter notre institution. J'ai fait donner des ordres afin que vous puissiez circuler dans nos couloirs et voir ainsi quel travail nous accomplissons céans. N'hésitez pas à communiquer avec le personnel de l'Académie royale si d'aventure vous aviez quelque question.

Recevez, Votre Grandeur, nos sincères salutations.

Arielle de Gilraen de Dénéré
Grande Académicienne royale de France

Copiste de l'Histoire Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 17/01/2010

Après un long chemin, Kilian d'Herbauge arriva entier dans le Palais des Académies. Kilian avais eu beaucoup de mal a trouver son chemin, il du même poser la question a plusieurs personnes pour savoir si sont chemin était le bon. Enfin dans le Palais, il chercha ou se rendre pour poser ça candidature jusqu'à qu'il trouve enfin la salle. Kilian prit directement un feuille qui fut remplie quelques minutes plus tard.

Citation :: Salutation.

Je me présente Kilian d'Herbauge, fidéle au université j'aimerais m'investir un peu plus dans l'histoire de France. Ayant de bonne connaissance historique, je pose ma candidature afin de voir si mes connaissances peuvent vous aidez ou bien aidez nos prochains. Dans l'attente de votre réponse, je vous remercie grandement de votre écoute.

Respectueusement.

Kilian d'Herbauge, Fondateur de l'Ordre de la Renaissance.

Laurens avait été prévenu de l'arrivée d'un candidat pour l'Intittut d'Histoire de France. Rapidement, le jeune Académicien se dirigea vers cette salle, réservée aux candidatures, celle là même que lui même, avait eut tant de mal à trouver, voici quelques temps déjà, lieu de rencontres fortuites, et pourtant, si agréables. Se présentant au nouvel arrivant, Laurens le salua respectueusement, affichant un sourire courtois et chaleureux...

"Le bonjour Messire."

"L'on m'a dit que vous souhaitez proposer votre candidature ? Permettez que je lise ?"

Se penchant pour lire rapidement le parchemin, Laurens afficha un sourire plus radieux encore...

"Je me présente, Laurens de Gilraen, Académicien en chaire de l'Institut d'Histoire de France. Ainsi donc, vous seriez intéressé par l'Histoire vous aussi ? Souhaiteriez vous me parler un peu plus de vous Messire ? Je lis que vous possédez de bonnes connaissances en Histoire, pouvez vous m'en dire plus à ce sujet ?"

Copiste de l'Histoire Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 17/01/2010

L'homme en fasse de lui prit le morceau de parchemin puis le lu, ensuite la personne se présenta chaleureusement puis lui posa quelques questions.

Veillez m'excusez, il est vrais que j'ai écrit cette lettre un peu vite.. enfin je m'appelle Kilian d'Herbauge et je suis actuellement en voyage jusqu'au Béarn pour m'y installer. Sinon mon domicile se trouve toujours à Brest dans la Grand Duché de Bretagne ou j'ai vécu pas mal de temps dans le repos.

Dit-il avec un léger sourire, depuis qu'il avait quitter la Bretagne il n'arrêtait pas de se faire agresser d'être un Breton pas comme les autres.

Enfin oui j'ai de bonne connaissance sur l'histoire du Royaume de France, aussi connaissance de presque tout les souverains que nous avons eux bien avant notre naissance. Je connais aussi un peu l'histoire des Royaumes voisins, mais nettement moins que celle du Royaumes de France mais c'est toujours ça. J'aime aussi beaucoup la lecture, surtout les livres d'histoire qui ne sont pas à ma connaissance.

Et bien, même si je ne devrais pas me permettre, ce genre de commentaire, et cela, soyez en assuré Messire, n'engage que moi, aller vivre en Béarn... enfin... bref.

Concernant votre candidature, je ne vois aucune raison de m'y opposer. Vous êtes donc accepté en qualité de copiste de l'Institut d'Histoire.

Copiste de l'Histoire Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 17/01/2010

Le Messire l'écouta puis lui porta une réponse positive à ça demande. Il continua ensuite en lui parlant du Béarn sur ton pas très enchanteur mais qui pouvais se comprendre, Kilian répondu.

Je vous remercie grandement Messire, oui pour le Béarn je sais à quoi m'attendre mais bon.. Je ne vous cache point que j'ai souvent la tête dans les livres mais que je suis aussi un homme de terrain, si je peu me permettre. De plus retrouver ça sœur qu'on a pas pu voir depuis son enfance.. dans un Comté en pleine crise, pour moi rien ne m'arrêtera.

L'académicien était revenu en les murs de l'institution après avoir du regler differents problèmes en son comté. Il fit informé de l'arrivée d'une copiste et s'empressa d'aller l'accueillir.

Dame Piscalie Breydel, c'est avec plaisir que je vous accueille en nos murs et specialement ceux de l'institut de politique.
Je suis malheureusement très occupé ces jours ci mais c'est avec plaisir que je prendrais le temps de discuter avec vous de vos envies de participation.

Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 13/02/2010

Mimmome fit les premier pas en cette académie de France . Il tenta d'arrêter quelques personnes, sans vraiment un franc succès. Il s'adressa donc à un garde pour exprimer sa requête. Il pensa quelques secondes à une petite poésie sympathique à réciter au garde, et totalement inspiré, il dit :

Oh messire le Garde attentif
Veuillez gentil vous montrer moins contemplatif
Et vouloir gentiment répondre à ma requête
Si ce ne vous embête
Ou puis-je trouver dame de Culan?
Dépêchez vous, car on manque un peu de temps.

Et il attendit une réponse.

» Décrets Académiques