Candidatures aux fonctions Académiques.

Nombre de messages : 75 Duché/Comté : Béarn Date d'inscription : 25/04/2009

Fort bien, dans ce cas patientez un moment, je vais vous demander les accès pour les locaux de l'Institut d'histoire.

Merci Dame répondit gentiment Ana.Lise en acceptant les clés que son interlocutrice lui tendait tout en lui indiquant le chemin qui menait à l'agora. Serrant délicatement dans ses mains ce trousseau, la jeune femme ferma les yeux une fraction de seconde, le temps pour elle de réaliser ce qu'il se passait puis elle salua messire Pyrrus et la jeune femme à ses côtés avant de prendre congés.

Je vous en remercie Monsieur.

Cerise, tout émoustillée à l'idée de commencer à travailler pour cet établissement si illustre, en oublia l'étiquette.Elle se mit à battre des mains comme une enfant.Elle virevoltait autour d 'eux.Voyant, qu'ils arboraient un air ébahis et que le sieur Pyrrus la considérait d'un air sévère.Elle s'arreta brusquement .

Excusez-moi monsieur! Mais, c'est l'émotion! Je vous attends donc ici pour recevoir mes instructions.

Copiste de Politique Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 29/11/2009

Enchanté messire Pyrrus, et merci pour vos informations. Il ne faut donc choisir qu'un seul Institut? Hmm... en ce cas, j'aurais tendance à choisir l'Institut de Politique. Toutefois, si à l'avenir il est possible de... disons, voyager entre les instituts, je serais très heureux d'aider à l'Institut d'Histoire également... je ne sais pas trop comment ça se passe....

Arthur esquissa un demi sourire et attendit la réponse.

La Grande Académicienne royale de France passait par là - eh oui, il fallait bien qu'elle passe quelque part. La vieille dame, appuyée sur sa canne, arborait un sourire content malgré ses vêtements de deuil. En effet, il lui faisait plaisir de voir le portique grouiller ainsi de monde.

Le bonjour à vous tous, murmura-t-elle, certaine que ses mots allaient se perdre au milieu de toutes ces voix fortes. Soyez les bienvenus à l'Académie royale de France.

Elle tourna alors ses prunelles noisette vers le jeune homme qui venait de parler. Elle n'avait pas saisi son nom mais iceluy se déclarait intéressé avant tout par la politique.

Messire, un copiste est généralement attaché à un seul institut, bien qu'il ne lui soit guère interdit de contribuer aux ouvrages d'un autre. Si l'Institut de Politique vous intéresse, je puis vous y intégrer dès à présent bien qu'il soit en ce moment dépourvu d'Académicien en chaire. Je le superviserai personnellement en attendant que nous trouvions quelqu'un pour remplacer Dame Espoire, qui s'en occupait jusqu'à récemment.

Une pause avant de rajouter:

Au fait, je suis la Grande Académicienne royale, Arielle de Gilraen de Dénéré. Enchantée de vous encontrer. Et vous êtes messire... ?

Copiste de Politique Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 29/11/2009

Une dame d'un âge honorable s'approcha du petit groupe et prit la parole. Le silence se fit naturellement, sans qu'elle ait besoin d'élever la voix. Nul doute qu'elle devait occuper une position importante et s'en montrer plus que digne, comme le prouvait le respect naturel qu'elle faisait naître de par sa simple présence. Arthur l'écouta avec attention.

Je suis enchanté et honoré de faire votre connaissance, madame la... euh... Grande Académicienne... excusez moi, les titres ne sont plus vraiment mon fort... Je me nomme Arthur Dayne, je viens du Bourbonnais Auvergne. En effet, je suis intéressé par l'Institut de politique... et si par la suite je fais suffisamment mes preuves, pourquoi pas apporter mon aide ailleurs... l'histoire me passionne également, mais les autres instituts aussi... J'ai toujours eu une curiosité assez éclectique... Toutefois je comprends tout à fait que l'organisation de l'Académie fasse qu'un copiste soit attaché à un institut, et je serais ravi de travailler pour l'institut de politique.

Arthur esquissa un sourire à dame Arielle pour ponctuer ses paroles.

Arielle eut un hochement de tête satisfait.

Eh bien, Messire Dayne, vous voilà copiste à l'Institut de Politique! La bienvenue chez nous!

Son regard pétillait.

Je vous invite à me suivre, je dois justement me rendre là-bas afin d'annoncer ma décision d'assurer l'intérim. Vous pourrez ensuite visiter le reste du Palais.

La comtesse reprit son mouvement, non sans s'assurer auparavant que le nouveau copiste la suivait.

Ninouchka pénétra dans la Salle des Pas Perdus de l'Académie Royale avec un peu d'appréhension et beaucoup de respect. Elle pensait à la somme de connaissances qui devait être rassemblée ici.

Tout ici était grand et relativement fastueux. Elle était impressionnée et regardait discrètement autour d'elle.

Il y avait beaucoup de monde ... chacun ou presque avait l'air de savoir où il allait.

Elle vit qu'il y avait un endroit où attendre d'être reçu et elle s'y installa.

Nombre de messages : 75 Duché/Comté : Béarn Date d'inscription : 25/04/2009

Bonjour gente Dame, bienvenue à l'Académie. Je suis Pyrrus, chargé de l'institut d'Histoire et académicien de cette institution. Si je puis vous aider, je suis à votre disposition.

Elle passait en trombe, comme toujours, un peu débordée encore, la tête voletant d'une pensée à l'autre, un livre sous le bras... Mais dans un univers où tout semblait aller trop vite au goût de la jeune femme, elle remarqua une personne qu'elle n'avait encore jamais vue en ces lieux. Non, son visage ne lui évoquait décidément personne... Mesurant son allure, passant une mèche brune derrière son oreille, Sindanarie s'approcha d'elle, un léger sourire sur le visage. C'était encore tout ce qu'elle parvenait à produire, mais bientôt l'habitude en reviendrait sans doute...

Toujours est-il qu'elle s'approcha de la personne qu'elle n'avait encore jamais vue et qu'elle lui demanda, remarquant l'arrivée de son confrère mais ajoutant :

Ma Dame, puis-je vous être d'une quelconque aide ?

S'inclinant légèrement, elle poursuivit rapidement :

J'allais oublier... Hum, Sindanarie Carsenac de Viam, Académicienne de l'Institut de Lexicographie.

Ninouchka sourit :

Bonjour Messire. J'ai appris que l'Académie Royale cherchait des copistes, notamment en lexicographie.

Cela m'a immédiatement intéressée et je suis venue pour en savoir un peu plus sur ce travail de copiste. J'ignore quelles sont les qualifications que vous exigez. J'espère en avoir ne fut-ce qu'une qui me permettrait de travailler ici.

Ninouchka n'avait pas fini de s'exprimer qu'une dame intervint et Ninouchka y vit un bon signe. Elle s'occupait justement de l'Institut qui intéressait la Blésoise.

Ninouchka s'inclina à son tour :

Bonjour Dame. Ninouchka, mairesse de Blois en Orléanais. Je suis venue me renseigner sur le travail de copiste en lexicographie.

Avait-elle bien entendu ? Depuis le temps qu'elle rêvait d'entendre ces mots, ses oreilles lui jouaient-elles quelque tour pendable ? Non, pourtant, celle qui s'était présentée sous le nom de Ninouchka avait l'air on ne peut plus sérieuse... Le sourire de l'Académicienne s'élargit légèrement, et elle reprit :

Ma Dame, votre intérêt pour la lexicographie me ravit ! L'Institut a deux activités principales en ce moment : la rédaction de biographies d'illustres personnages de notre Royaume, d'une part, et la rédaction de mémoires sur les grandes institutions de France, d'autre part.

La jeune femme se tut un instant, pour maîtriser ses paroles. Endiguer leur flot avait toujours plus ou moins été un problème pour elle... Reprenant la parole, elle s'empressa d'ajouter :

Si vous le souhaitez, je peux vous prêter des clés pour que vous vous rendiez par vous-même compte de ce qu'est la réalité de l'Académie. Mais, si vous permettez... Qu'est-ce qui vous a poussée à vous présenter en ces lieux ?

Une de ses mains avait plongé dans les plis de la longue robe noire qu'elle portait. Le trousseau était bien là...

Ninouchka remercia d’un petit signe de tête et d’un sourire Messire Pyrrus qui avait voulu l’aider.

Puis elle se tourna vers Dame Sindanarie … Ninouchka s’en voulut de n’avoir pas retenu le nom complet de son interlocutrice … elle espérait avoir encore l’occasion de l’entendre.

Ce qui m’a poussée à venir ici Dame ?

Ninouchka réfléchit quelques instants et dit :

Je suis maire de Blois depuis plus de 5 mois et j’ai l’intention de m’arrêter un peu. C’est un poste assez usant et j’ai besoin de répit à certains points de vue.

Mais je n’imagine pas un instant la possibilité de ne rien faire … j’ai tellement l’habitude d’être très occupée et d’être au service des gens que je cherchais ce qui aurait pu me permettre de continuer dans ce sens.

C’est dans cette optique que je suivais la parution des annonces à Blois et c’est ainsi que j’ai vu celle de l’Académie Royale.

En la lisant, j’ai vu qu’il existait un Institut de Lexicographie ce que, je vous l’avoue, j’ignorais complètement.

Les mots utilisés dans cette annonce ont eu un effet sur moi … il y était question d’un dictionnaire qui immortalise les lieux, les institutions ou les personnalités.

J’ai pensé, peut-être à tort, qu’il faudrait faire des recherches à propos de lieux ou de gens … j’aime tout ce qui est recherches de type « généalogie » voyez-vous. Je peux faire ça pendant des heures. J’aime recouper les informations entre elles, les classer, les compléter.

Mais en vous écoutant, je ne sais pas si le travail que vous avez entrepris nécessite des gens comme moi. Il vous faut peut-être davantage un écrivain.

Ninouchka regardait l’Académicienne avec un peu d’anxiété … et si elle lui disait immédiatement qu’elle ne convenait pas ? Qu’il fallait des talents qu’elle n’avait pas ?

Elle s’empressa d’ajouter en souriant :

Mais je suis prête à apprendre. J’aimerais travailler ici. L’air qu’on y respire et les bruits qu’on y entend me plaisent.
J’accepte volontiers votre offre d’aller visiter vos bureaux afin de me rendre compte de ce en quoi consiste le travail.

Le sourire de l'Académicienne s'était encore légèrement élargi en entendant les motivations de la visiteuse.

Ma Dame, vous avez parfaitement pensé... Le travail dans le cadre de l'Institut de Lexicographie passe par la recherche sur les illustres personnages de France et sur les institutions remarquables. Et votre intérêt pour la généalogie ne peut qu'apporter de la valeur à votre ouvrage, à mon sens.

Sortant la main des plis de sa robe, la jeune femme tendit son trousseau de clefs à la mairesse, après en avoir tout de même retiré une petite clé.

Si vous souhaitez visiter l'Académie avant de choisir définitivement une voie, ceci vous ouvrira la plupart des portes.

Désignant d'un geste de la main l'un des couloirs qui partaient de la salle où ils se trouvaient, Sindanarie reprit :

Vous trouerez la bibliothèque où sont entreposés les quelques ouvrages lexicographiques finalisés au bout de ce corridor. Cela vous donnera sans doute une meilleure idée de ce que nous avons jusqu'ici réalisé. Si sa porte ne s'ouvrait pas, n'hésitez pas à me faire appeler.

Avec un sourire, l'Académicienne conclut :

Je ne doute pas que vous arriviez à vous adapter à ce type d'ouvrage. Point n'est besoin d'être le plus grand écrivain de notre siècle pour être compétent en ces lieux. Si vous avez une question ou une demande, je reste à votre disposition, naturellement...

Ninouchka n'osait pas y croire ... ses motivations n'avaient semblé ni loufoques ni déraisonnables.

Elles avaient eu l'air de convenir à son interlocutrice qui était prête à lui confier un trousseau de clés.

Ninouchka prit les clés que Dame Sindanarie lui tendait :

Merci ma Dame. Je vais me rendre de ce pas à la bibliothèque. Je dois dire que je suis assez impatiente de découvrir le travail que vous accomplissez.

Quand je me serai fait une idée de ce qui est demandé, me sera-t-il possible de vous revoir pour en parler ?

L'Académicienne hocha la tête, le sourire toujours dansant sur les lèvres.

Vous pouvez, bien sûr, me retrouver pour discuter de ce que vous aurez vu. Si vous voulez passer dans mon bureau de l'Institut, ce sera peut-être le plus simple... Sinon, si vous devez repartir rapidement, je me tiens naturellement à votre disposition pour un entretien ultérieur.

Sur ces mots, la jeune femme s'inclina légèrement et fit quelques pas en arrière.

Je vais vous laisser découvrir... En espérant que vous apprécierez l'Académie plus encore après votre visite.

Sur un dernier sourire, elle s'éloigna, le dernier travail du Sieur Perceval toujours dans les mains. Il lui semblait avoir changé de peau et avoir revécu son arrivée, une année auparavant (ou plus ? Elle n'aurait trop su le dire), sous un autre point de vue. Etonnante sensation...

Ninouchka avait pénétré pleine de curiosité dans la bibliothèque. C'était une grande pièce aux apparences discrètement cossues, un endroit calme appelant à la lecture et à la réflexion.

Elle avait parcouru les étagères et avait pris par-ci, par-là un livre qu'elle consultait, puis redéposait.

De temps en temps, un ouvrage retenait davantage son attention et elle en lisait de larges extraits.

Ninouchka oubliait l'heure ... elle était dans un monde où elle se sentait bien.

Tout à coup, une cloche tinta au loin ... la mairesse de Blois sursauta ... l'heure de l'Angélus ... il était tard ... elle sortit rapidement de la bibliothèque après avoir rangé le dernier livre lu.

Elle referma la porte à clef, comme elle l'avait trouvée et se dirigea vers la salle des pas perdus.

Elle ressentit un grand soulagement en voyant qu'il y avait encore du monde.

Elle chercha des yeux Dame Sindanarie ... peut-être était-elle dans les parages. Elle avait parlé de son bureau à Ninouchka mais sans lui préciser où il se trouvait.

Sur le point de se renseigner, Ninou vit l'Académicienne déboucher dans la vaste salle. Elle se rendit auprès d'elle, lui sourit et lui rendit les clés :

Ma Dame ... merci pour les heures intéressantes que je viens de passer. Votre bibliothèque contient des trésors. Voici vos clefs. Si vous voulez bien de moi, je serais, pour ma part, honorée de travailler en cette magnifique maison avec vous.

L'heure avait avancé sans même qu'elle s'en rende compte. Le calme de l'Académie l'avait portée, comme toujours lors de ses séjours à Paris. C'était un morceau de chez elle, pour autant qu'elle ait encore un logis où que ce soit. Bref, Sindanarie s'était donc laissée absorber dans les ouvrages qui avaient récemment été déposés sur son bureau, sans garder aucune notion de temps. Ce ne fut qu'à la tombée de la nuit que la jeune femme releva la tête en raison du manque de lumière. Et qu'elle réalisa qu'elle n'avait pas donné d'indications précises à sa potentielle future copiste pour la retrouver...

L'Académicienne avait bondi de sa chaise et, passant par habitude une certaine cape azur sur ses épaules, s'était dirigée à toute allure vers la salle où elle avait rencontré plus tôt dans la journée Dame Ninouchka. Quand elle déboucha dans l'imposant volume, elle l'aperçut effectivement qui venait à sa rencontre. Le sourire qu'elle vit sur les lèvres de l'hôte de l'Académie la rassura quelque peu sur ses impressions, mais le trousseau tendu la plongea dans le doute... Oh, quelques petits instants, quelques infimes instants, car le doute fut bientôt levé.

Un franc sourire s'épanouit sur les lèvres de Sindanarie, et elle répondit :

Ma Dame, je suis heureuse de l'impression que vous a faite l'Académie ! Quant à ces clefs, vous pouvez les garder, j'en ai un autre jeu dans mon bureau. Vous pourrez ainsi aller et venir librement dès maintenant au sein de l'Institut. Ce qui signifie, naturellement, que vous pouvez dès à présent vous considérer comme Copiste en Lexicographie dès à présent, si vous vous en tenez à votre premier choix.

[Désolée pour le temps de réponse, un coup de bourre IRL...]

"vous pouvez dès à présent vous considérer comme copiste en Lexicographie" ...

Ninouchka n'en croyait pas ses oreilles ! Elle allait pouvoir venir travailler ici régulièrement, être en contact avec ce monde qu'elle aimait, oublier l'heure plongée dans des recherches ou devant un manuscrit ...

Elle sourit à dame Sindanarie, ne trouvant pas, sur le moment, les mots qui pouvaient traduire ses sentiments.

Elle fut au comble du bonheur en recevant le trousseau de clés des mains de l'Académicienne. Ce geste concrétisait pour Ninou son entrée au service de dame Sindanarie.

Merci Dame ... je vous promets de faire de mon mieux et d'essayer de vous faire honneur.
J'aurai cependant besoin d'être guidée et de recevoir vos conseils car tout cela est très nouveau pour moi.

[ne soyez pas désolée ... chacun fait ce qu'il peut ^^ ]

Un sourire en réponse à la nouvelle copiste. Manifestement, la volonté de produire un travail de bonne sinon d'excellente qualité était bel et bien présente dans cette nouvelle recrue... Voilà qui aiderait à alimenter la dynamique de l'Institut.

Ma Dame, c'est un bonheur et un honneur pour l'Institut d'accueillir de nouveaux copistes.

Sindanarie balaya rapidement la salle du regard. Les allées et venues se faisaient plus rares, l'activité s'éteignait doucement. Il ne resterait bientôt plus que quelques noctambules... Reportant les yeux vers son interlocutrice, la jeune femme reprit :

Il est naturel que vous soyez encore pleine d'interrogations au sujet de votre ouvrage au sein de l'Académie... Les autres copistes de l'Institut et moi-même sommes là pour y répondre. Mais ne prenons pas racine en ces lieux... Que diriez-vous d'aller dans mon bureau pour discuter de votre tâche à l'Académie ? Ou préférez-vous découvrir plus en détail le scriptorium de l'Institut et ses différentes parties ?

Si vous le permettez Dame et si les heures d'ouverture de l'Académie l'autorisent, je ferai tout d'abord un petit détour par le scriptorium avant de vous rejoindre dans votre bureau.

Je saurai mieux ainsi à propos de quoi vous poser des questions.

Ninouchka regarda son interlocutrice, espérant que cela lui serait possible.

Le sourire toujours aux lèvres, l'Académicienne acquiesça.

C'est peut-être le mieux, en effet. Comme vous êtes désormais des nôtres, il est bien naturel que vous vous familiarisiez avec... Oui, vous avez raison, passez avant tout par le scriptorium. C'est le coeur de notre Institut...

Sur un geste, Sindanarie invita la nouvelle copiste à s'avancer dans les couloirs menant audit scriptorium.

Bonjour,

par cette lettre,je présente ma candidature, voulant servir mon royaume et tout ce qu'il renferme. Je suis Landdel d'Artelois et vit à Verneui en Alençon. Je suis actuellement ambassadeur, j'ai remplis la fonction de tribun pendant 3 mandats et ai occupé plusieurs postes de conseiler ( porcin, animation, cultures,...)
J'ai toujours aimé écrire et je prend beaucoup de plaisir à rédiger des chansons et des poèmes mais le pourquoi de ma venue est que je voudrait écrire pou rl'institut des sciences, ayant beaucoup voyagé et observé j'aimerais transmettre par écrit mes savoirs.

Landdel d'Artelois

Elle ne lut qu'une fois le pli qu'on venait de lui remettre et entreprit d'en rédiger la réponse à chaud, sur le champ

Citation :: Messire d'Artelois,

Votre démarche est à mes yeux intéressante à plus d'un titre, vous l'ignorez probablement mais il se trouve que la qualité qui me semble primordiale pour intégrer l'Institut des Sciences est la curiosité et non pas la maîtrise d'un corps de connaissance.

Par ailleurs, nous avons fait de l'observation, notre moyen privilégié d'aborder toute question, aussi je serais fort aise d'en savoir plus sur votre projet et vous donnerai accès à l'ensemble de nos activités aussitôt que vous nous ferez l'honneur d'une visite.

Je ne doute pas qu'après quoi, vous restiez avec nous.

Cordiales salutations.

Jane de Bohem

Citation :: Au Collège Académique de France ;

Salutations !

Par la présente, je, Eoghan de Dénéré-Dongenan, fière de mes onze années et du goût pour l'apprentissage qu'elles me procurent, fils du Duc de Vannes et de la Dame de St Léger sous Cholet, fait acte de candidature auprès de l'Académie de France, et plus spécifiquement auprès de l'Institut de Lexicographie, et ce afin d'apprendre et travailler dans cet Institut.
Après beaucoup de réflexion et après m'être renseigné sur chaque institut du Palais des Académies, l'envie m'est venue de m'investir tout humblement de part mon age et mes faibles connaissances en la matière, dans l'institut de Lexicographie.

Pour information, j'habite de manière temporaire à Mayenne, dans le Maine, mais irait m'installer d'ici un mois environ en Alençon.

J'espère que mon jeune âge et le manque de connaissances que cela implique ne gênera pas pour ma candidature au poste de copiste de l'Institut nommé ci-dessus.

Respectueusement,

Eoghan de Dénéré-Dongenan.

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